Chercher une location lorsque l’on est freelance, c’est un peu comme courir un sprint en partant avec quelques minutes de retard : c’est perdu d’avance ! En tout cas, c’est ce que pensent de nombreux travailleurs indépendants qui dans la quête de leur futur logement se heurtent à des idées reçues ancrées dans l’imaginaire des propriétaires et des agences immobilières depuis bien trop longtemps. En conséquence : aujourd’hui, 3,6 millions de freelances en France sont parfois freinés dans leurs projets immobiliers. Il est temps de dissiper les mythes qui entourent le freelance et le logement. C’est parti !
Sommaire
- Idée reçue #1 : le freelance a des revenus précaires et non-réguliers
- Idée reçue #2 : il est compliqué pour le freelance d’avoir un garant
- Idée reçue #3 : les freelances sont obligés de choisir la colocation
- Idée reçue #4 : impossible d’avoir un dossier de location en béton
- Idée reçue #5 : les agences et les propriétaires refusent systématiquement les travailleurs indépendants
Idée reçue #1 : le freelance a des revenus précaires et non-réguliers
La première difficulté à laquelle les freelances doivent faire face, est le fait qu’ils doivent prouver la pérennité de leur entreprise, en outre leur capacité à gagner des revenus supérieurs à 3 fois le loyer demandé. Mais sans fiches de paie pour prouver un salaire fixe à la fin de chaque mois, cela paraît presque une mission impossible.
Pourtant, il existe des solutions pour pallier à ce problème et anticiper les fluctuations de revenus liées au statut du travailleur indépendant : diversifier ses missions, demander un acompte, réaliser des missions qui durent dans le temps, etc. Chaque freelance a sa recette magique pour s’assurer une stabilité financière.
Et, lorsque leur activité d’auto-entrepreneur décolle, certains freelances optent également pour le versement d’un salaire fixe sur le compte courant. C’est tout à fait faisable dès lors qu’il a calculé toutes ses charges et estimé le montant dont il a besoin pour vivre chaque mois. Le freelance peut ensuite effectuer un virement mensuel depuis son compte bancaire professionnel vers son compte personnel. Cette méthode permet aux freelances d’avoir un revenu, tout comme un salarié, et parfois même de l’argent de côté !
Idée reçue #2 : il est compliqué pour le freelance d’avoir un garant
Faux ! S’il est vrai que la présence d’un garant solide peut largement augmenter vos chances de décrocher un logement lorsque vous êtes freelance, il n’est heureusement plus si compliqué d’en trouver un. En effet, les problématiques de garant et de caution locative ont été prises à bras-le-corps par toute une génération d’entrepreneurs et de startupeurs qui a compris deux choses : premièrement, le salariat n’a plus le monopole du monde du travail. Deuxièmement, tous les freelances ne peuvent pas compter sur leur entourage pour trouver un garant.
C’est ainsi qu’un service comme Cautioneo a vu le jour. Mais les freelances peuvent se trouver avec la garantie VISALE proposer par Action logement.
Et, pour entériner une bonne fois pour toutes, cette idée reçue, notez que la garantie peut aussi changer de camp ! Les propriétaires qui souhaitent se protéger des impayés peuvent eux aussi souscrire à une garantie : la Garantie Loyer Impayé.
Idée reçue #3 : les freelances sont obligés de choisir la colocation
Face à la difficulté de prouver des revenus réguliers et de trouver un garant, certains freelances pensent ne pas avoir d’autres choix que de se tourner vers la colocation. Ce mode de logement présente des avantages, notamment un engagement financier des locataires qui se portent caution les uns pour les autres. Rejoindre une colocation est donc plus simple pour les freelances. Mais, ce n’est pas obligatoire !
Les freelances sont 3,6 millions en France, ils ne sont pas tous en collocation ! Vivre seul, chez soi lorsque l’on est freelance, c’est possible. Mais trouver le logement à décote est parfois long et compliqué. La solution est peut-être de se faire accompagner ! Les Kokooners, ces chasseurs immobiliers d’un nouveau genre, spécialistes de la location sont peut-être la solution qu’il vous faut !
Le Kokooner vous écoute, comprend votre recherche immobilière, visite les logements à votre place, et défend votre dossier de location face à vos concurrents auprès des agences immobilières ou des propriétaires. qui dans la plupart des cas acceptent finalement de louer à un freelance ! Magique, non ?
Idée reçue #4 : impossible d’avoir un dossier de location en béton
Le dossier de location, c’est la pièce maîtresse du processus de recherche de logement. Mieux vaut donc la soigner pour démontrer le sérieux de son profil à des agences ou des particuliers. On connaît tous la chanson : certains documents seront très faciles à fournir comme la carte d’identité, le dernier avis d’imposition, les dernières quittances de loyer, etc.
Mais pour un freelance, il est impossible de fournir le sacro-saint contrat de travail avec les fiches de paie qui l’accompagnent, relayant votre dossier en bas de la pile.
Que nenni ! Pour que son dossier de location soit le plus solide possible, le freelance ne peut s’appuyer que sur les documents qui vont justifier son chiffre d’affaires et son projet de vie ! Ce dernier étant encore plus indispensable qu’il n’y paraît. Il peut même faire pencher la balance des propriétaires en la faveur du freelance.
Idée reçue #5 : les agences et les propriétaires refusent systématiquement les travailleurs indépendants
Finalement, dans ce tourbillon administratif, nous avons tendance à oublier une chose : la recherche d’un nouveau cocon où vivre et s’épanouir est avant tout un grand moment de vie qui se nourrit du freelance : sa situation actuelle, ses besoins, ses envies, etc. Il est important de savoir défendre ce grand moment de vie auprès des agents immobiliers et/ou des propriétaires.
Et nous connaissons justement des chasseurs immobiliers, experts en la matière : ce sont les Kokooners ! Passionnés d’immobilier et d’humain, ils recherchent le futur cocon de leur client avec la même attention et implication que s’il s’agissait d’une recherche immobilière personnelle. Ils connaissent sur le bout des doigts le vécu et les attentes des personnes qu’ils accompagnent. Et, lorsque vient le temps de rencontrer le propriétaire ou l’agent immobilier, le Kokooner a cette intelligence émotionnelle nécessaire pour convaincre les agences immobilières de confier le logement à un freelance ! Besoin d’un Kokooner ? Rendez-vous sur le site de Kokoon pour trouver le vôtre !
